Oui oui, de la cuisine au sang.
Bé quoi vous mangez bien du steack, du boeuf, du veau et de je ne sais quoi plein de sang ?
Moi cela va être de la cuisine avec mon propre sang dont je vais vous parler.
Vi vi, je cuisine avec mon propre sang !
Bon je ne vais pas vous faire languir plus longtemps, hein, bande de voyous.
Mais qu'est-ce qu'elle va encore nous raconter cette Lulu, de la cuisine avec son sang.
J'ai donc pris une énorme seringue. Avec l'aide d'un ami, je me suis prélevé 100 ml de sang. Du pur jus, du bien frais.
J'ai fait revenir des petits oignons grelots, du lard maigre et des patates rates.
Ensuite, j'ai préparé une sauce comme suit :
une cuillère à café de moutarde, quelques câpres, sel poivre, et mon sang. J'ai mélangé le tout et hop, tout ça sur ce que j'avais faire revenir, hum, c'était délicieux !
Mais non, bande de bananes pas mûres !
Mais j'ai tout de même fait de la cuisine avec mon sang.
Savez ce que c'est une soupe de légumes frais ? Bé faut les éplucher. Et en les épluchant, je me suis légèrement taillé l'index. Rien de grave mais ça pissait quand même un peu.
Bé j'ai laissé pisser... Oh comme c'était joli les pommes de terre qui rosissaient à vue d'oeil ! Et hop dans la gamelle, avec quelques gouttes de mon adn.
Rien de grave je vous dis ! juste trois gouttes de sang.
On a bien l'habitude de se mettre le doigt dans la bouche dans ces cas-là, non ? Tout cela, c'est parce que notre salive sécrète quelque chose qui fait que ça passe plus vite, non ?
Bobo est passé, a y est c'est cautérisé, et tout seul.
Et ma bonne soupe (putain j'en ai fait pour un régiment) est prête. Et je la mangerai toute seule. Car j'imagine mal dire à mon voisin copain, lui qui adore ma soupe, qu'il y a de mon sang dedans !
QUI VEUT DE MA BONNE SOUPE ?