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Campagne blog sans pub
26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 02:47

Ouais une ode à ce chat-là.

 

Un chat si particulier. Pas calin du tout.

 

Qui avait élu domicile chez moi pour avoir la paix.

 

Qui ne demandait rien. Enfin si quelques fois, il me miaulait, parce qu'il en avait marre que je sois sur l'ordi, alors je m'occupais de lui. Mais c'était un chat très spécial. Je l'ai toujours considéré comme malade. Disons que j'ai toujours cru que son passage pour le faire castrer lui avait laissé des traces. Aussi bien physiques que mentales.

 

 

C'était un chat pas normal. Qui avait décidé, avec mon commun accord, de finir ses vieux jours chez moi.

 

Mais sa maîtresse en avait décidé autrement. Et on ne peut rien faire contre les lois humaines.

 

Deux jours avant sa mort, il miaulait comme c'était pas possible en bas, devant mon balcon. J'ai résisté. L'horreur.

 

J'avais un mal au coeur comme pas possible. Mais j'avais promis à sa maîtresse que je résisterais. Je m'en veux encore. J'aurais pas du. J'aurais dû l'écouter lui. Qui m'appelait à moi et pas à elle. Quelle conne je fus, merde.

 

Le lendemain je l'ai vu sur la terrasse de ma voisine, agonisant. C'était la fin. Sa maîtresse m'a téléphoné pour me fixer un ultime rendez-vous auquel je ne me suis pas rendue. Il est mort, piqué, dans ses bras je suppose.

 

Mais pendant cinq ans, ce chat avait élu domicile chez moi. Tellement qu'à la fin il ne voulait plus sortir. Alors qu'au début je l'emmenais balader au bord du Lez... j'ai la larme à l'oeil.

 

Oui mon Pelucre, ce soir j'ai une douce pensée pour toi.

 

  dehors-030.jpg

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 05:12

Version Bob Dylan :

 

http://www.123video.nl/playvideos.asp?MovieID=517550

 

ou alors version John Baez :

 

http://www.youtube.com/watch?v=OYeXvG2ptwk

 

 

et les paroles en anglais et en français, c'est génial c'est en tableau,, c'est par ici :

 

http://www.bobdylan-fr.com/trad/dontthinktwice.html

 

 

Ouais désolée de faire un article avec des liens, mais c'est ce que j'ai trouvé de mieux...

 

A l'époque où je l'écoutais, je n'entendais que la mélodie.....

 

Villeneuve-les-Mag-005.jpg

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 03:33

 

Je parle de lui car il passe à la radio.

 

Aaaah Johnny ! Toute gamine j'écoutais ses premières chansons sur le vieux poste de ma grand-mère. Et puis j'ai vu son mariage, en noir et blanc, avec Sylvie Vartan. Non pas à la télé, mais dans un magazine qui s'appelait à l'époque un truc du style "Podium". Je ne sais plus trop. Ou "OK magazine" un truc du style.

 

J'étais passionnée par leur histoire. Ils représentaient pour moi l'amour pur, le vrai, le symbole que cela pouvait exister. Vous savez, l'histoire du prince charmant sur son beau cheval blanc... Ils étaient beaux, amoureux, dingue !

 

Il partit faire son service militaire, cela ne l'empêcha pas de jouer et de chanter. Comment qu'il était beau !

 

Il fit carrière, ils se séparèrent mais ils s'aiment toujours. Bien sûr ce ne sont plus les mêmes amours qu'au départ mais ils s'aiment d'un amour indéfectible. Obligés. Ils sont père et mère et grand-père et grand-mère... et sont très liés à la famille, mine de rien.

 

Aaah la famillle !  Si Johnny réunnit la sienne, il n'oublira pas d'inviter Sylvie. Et David, et Laura...

 

Je ne sais plus si je vous ai raconté ce rêve où j'étais invitée par lui dans une grande fête. Arrrivée en hélico, il m'accueillait avec une rose d'une main, et une coupe de champagne de l'autre. Sur une grande terrasse qui surplombait Nice au soleil couchant.

 

Vous ai-je jamais dit que je rêve en couleurs ? Et que les couleurs de mes rêves sont plus vives que les couleurs de la réalité ?

 

Bon je m'égare. Revenons à Johnny. J'avais environ 13 ou 14 ans et je me faisais chier comme un rat mort chez moi, alors j'allais chez une dame qui avait une gamine de mon âge. Tout ce que je me rappelle, c'est qu'elle m'accueillait, qu'il faisait chaud et bon, qu'elle me faisait du chocolat chaud et qu'elle repassait. La télé allumée, un chien dans les pattes, j'adorais ! Cela vivait au moins. Alors que chez moi, c'était d'une tristesse..

 

Chez moi, je remontais mes deux étages pour me réfugier dans ma chambre et personne. Pas cette vie, pas cette sympathie, pas cette ambiance, pas cet accueil.

 

Alors j'écoutais Johhny ou les autres sur un vieux crin-crin et je rêvais...

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 03:53

 

 

Si je pouvais crier ici, je le ferais, mais je ne peux pas. D'abord parce qu'il est presque 4h du mat, et que si je crie, on va me prendre pour la cinglée du village, et hop, camisole et zou, en cellule.

 

Donc je me retiens. Mais alors la cocotte, elle mijote. J'ai baissé le feu, mais elle mijote tout de même.

 

Merde, je n'en peux plus que l'on me prenne pour une conne, ou une moins que rien, ou une vieille qui n'a rien compris à la vie.

 

Certes, je n'ai pas travaillé pendant 40 ans, à me tuer à la tâche et cela a toujours été mon choix. J'ai toujours primé ma liberté avant tout. Et maintenant, à l'aube de ma retraite, je ramasse les clopinettes que j'ai plantées, c'est-à-dire rien, tchi que dalle.

 

Si si, je ramasse le peu que j'ai cotisé, oui oui, je ramasse. Je suis une assistée. Et je vis confortablement. J'ai l'internet, l'eau, le gaz, et un toit sur ma tête. Même que j'ai un lit et une machine à laver, wouah le luxe. jJ'ai même une cafetière, wouaouh le super luxe.

 

Et j'arrive encore à m'acheter et à manger et à boire, comme disait un certain Coluche.

 

Pour combien de temps, ça c'est la grande question.

 

Je n'ai jamais été pauvre, mais je n'ai jamais été riche non plus. Le strict minimum pour vivre. Certes, j'ai un pécule de côté qui me vient de feue ma mère, mais je n'y touche pas, ou peu. Dans ma tête, c'est son argent et je ne le dilapide pas. C'est pour mes vieux jours. Mais c'est quand les vieux jours ???

 

Un jour, j'en parlais à mon fils, normal, et on spéculait sur l'âge de ma mort pour savoir combien je pouvais dépenser par mois. Seulement on est bien tombé d'accord sur le fait que l'on ne connaît pas la date de sa mort. C'est fou, non ?

 

Mais au moins, avec mon fils, on peut parler librement de fric, chose qui était totalement interdite, voire tabou avec ma mère. Elle qui a travaillé toute sa vie et qui a économisé sou après sou. Qui avait planqué dans son linge des billets d'anciens anciens francs. Enfin pas grand chose, je suppose que de sa part, c'était plutôt affectif, ou alors elle avait carrément oublié, peuchère elle était tellement malade...

 

Sa maison était pleine de robes, chemisiers, paperasses, tout bien classé, tout bien empilé, mais le jour où il a fallu que je nettoie toute la barraque, boujour ! Un mois entier il m'a fallu. Et heureusement que je suis fille unique.

 

J'ai commencé par la paperasse. La grande table de sa soi-disant salle à manger, déjà un tri par le vide sur toutes les revues. Il y en avait bien trente centimètres de hauteur sur trois coins, zou, à la baille, du tri, de la place.

 

Bé ma carelle, quel boulot, quel taf ! Déjà commencer à téléphoner pour dire qu'elle était DCD. Condoléances patin machin coufin. Prévoir une copie du bulletin de décès pour solder les comptes. Une semaine en gros cela m'a pris, pendant que je vidais la cave de vieilles bouteilles qui dataient de feu mon père et qui étaient transformées en vinaigre, pouark ! Sur quarante bouteilles, j'ai dû en trouver deux de pas trop mauvaises. Que je me suis sifflée allègrement tout au long de ce job, pour me donner du coeur à l'ouvrage. Non, ce n'est même pas ça. Je vais dire et c'est vrai, pour ne pas gaspiller. Pendant que toutes les autres bouteilles, pouark, dégueulasse, je me revois encore les vider une par une dans l'évier.

 

Alors qu'une fois, au petit matin, sans avoir dormi de la nuit, j'étais dans le grenier en train de virer des gravats, l'ex de ma mère arrive. Tout frais et dispo. Il a dû sentir l'odeur des bouteilles que j'avais vidé dans l'évier.

 

"Quoi, t'es bourrée, tu n'as pas de respect pour ta mère..."

 

Mon sang n'a fait qu'un tour et ni une ni deux, j'ai pris mes cliques et mes claques. J'étais hébergée à l'époque chez mon fils qui habitait un tout petit studio et il hébergeait lui-même un black. Voila le sketch. J'arrivais, crevée, naze et ne voulait que dormir. Eux ils se réveillaient. Tout ça après 1h30 de transport en commun.

 

"Bonjour, bonsoir.." je m'écroulais sur le lit de mon fils, 2 secondes après je dormais. Il y aurait pu avoir une bombe que je n'en avais rien à battre.

 

Je crois que ce jour-là, j'ai du dormir de 9h du mat jusqu'au lendemain vers 5 ou 6h du mat. Presque deux fois le  tour du cadran. Il me fallait bien ça pour récupérer et y retourner, car la bataille ne faisait que commencer...

 

Un mois cela a duré.

 

Mais pourquoi je vous raconte tout ça ???

 

A oui, cela me revient en regardant le titre. Bé je ne sais plus pourquoi cela allait mal. Enfin si mais non.

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 13:08

 

 

Voix cassée, fièvre, oreilles qui bourdonnent, mal à la gorge...

 

je suis malade !

 

Je voudrais tant que quelqu'un vienne me faire une soupe légère. Ou un thé. Ou je ne sais quoi mais s'occupe de moi.

 

 

Dès que je me lève, j'ai la tête qui tourne.

 

Et y a personne, snif !

 

D'tout façon, je ne sais même pas si je supporterais la présence de quelqu'un, tous les bruits me sont insupportables.

 

Là tout de suite, je suis entrain de faire des essais de voix. "A é a". Ça fait, bien ça fait rien du tout, un gros silence. Ou alors un râle bizarre.. Avé des notes fausses;

 

Je suis malaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaade.

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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 14:21

J'ai le courage de rien, mal partout et surtout à mon cerveau.


Après la rupture avec Fred, le décès du chat, un immense sentiment de solitude m'envahit. Même si j'ai le soutien de mes vrais amis.


D'ailleurs je viens d'avoir un flash. J'étais en train de regarder mes plantes sur mon balcon et de humer le doux parfum des roses quand soudain une voiture se gare, mal d'ailleurs, puisque sur une place réservée aux pompiers et mon sang ne fait qu'un tour... "c'est eux !". Je descends rapidos, munie de papier et stylo, relève le numéro de la plaque, mate un peu ce qu'il y a à l'intérieur, voit un chargeur de portable... voit aussi que leur assurance n'est pas à jour et ils débarquent. Bé ce n'était pas eux.


"Ya un souci madame, notre voiture vous dérange ?" ... "Non non..."


Au moins, une chose est sûre, c'est que l'on ne peut pas me voler l'odeur de mes fleurs.


Cela me rappelle une histoire, tiens.


C'est un mendiant qui tous les jours s'installe devant une rotisserie, avec son quignon de pain, et qui le mange en humant l'odeur des poulets rôtis. Un jour, le rotisseur n'en pouvant plus lui dit : "C'est bien gentil de vous nourrir à l'odeur de mes poulets mais maintenant, il faudrait songer à me payer". Le mendiant lui dit qu'il repassera le régler dans l'après-midi et il part faire la manche. Quelques heures plus tard, ce dernier repasse, appelle le patron. Il sort quelques piécettes et les jette sur le comptoir en les faisant tinter et les récupère. "Bé qu'est-ce à dire" grommelle le patron. Le mendiant répond : "Je me suis nourri avec l'odeur, alors je vous paye avec le son". Et toc.

 

Pendant un certain temps, je ne vous mettrai que des "vieilleries"... Remarquez, à tout malheur quelque chose est bon car je redécouvre des trucs !!!

 

lunefondnoir023.jpg

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 09:09
J'avais une prise de sang à faire et à jeun. Le labo ouvre à 7h30.

Mercredi, je me réveille bien trop tôt alors je n'y vais pas.

Hier, je me réveille bien trop tard alors je n'y vais pas.

Ce matin, c'est tout bon, je suis dans les temps. Oui mais.... grève générale de tous les transports en commun suite à une agression d'un chauffeur de bus. Tant pis, j'y suis allée à pieds. Et revenue à pieds. Et à jeun.

Mon petit dèj avalé, je retourne sous ma couette, voila. Et c'est pas aujourd'hui que j'irai en courses, ni demain non plus car il y a des préavis de grève pour demain aussi, ponctuels certes, mais suffisemment perturbants.

Alors mes courses, elles attendront la semaine prochaine. Vive le riz, les pates et tout le reste !


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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 16:13
Surtout qu'en ce moment, je n'ai pas le coeur à rire.

Et les rires rajoutés dans certains sketches m'insupportent au plus au point.

On est bien capable de rire sans avoir besoin que l'on nous y encourage, non ?

Tout comme pleurer d'ailleurs.


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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 16:15


Comment peut-on faire pour oublier ?

Aller à la piscine ? Manger du chocolat à s'en rendre malade ? Fumer des pêtards ou picoler jusqu'à tomber inanimée ?
Faire un jogging de 30 km ? Prendre un marteau et se taper la tête jusqu'à ce que la cervelle sorte ? Prendre des cachetons et s'endormir pour de vrai et pour toujours ? Manger grassement et vomir et remanger et revomir ? Casser tout dans la maison, prendre une douche froide et sortir toute nue dans la rue ? Tordre le cou du chat, prendre le plus grand couteau et lui extirper ses entrailles ? Devenir TOC ?

Je vous en passe et des pires. Car évidemment je ne fais rien de tout cela. Et c'est bien pour cela que je n'oublie pas.

Evidemment, je veux parler de Max et de Fred.

Commençons par le dernier. Depuis qu'il sait se servir d'une messagerie internet, bé tous les soirs, il m'écrit et tous les matins je lui répond. Et cela va très loin. Si loin que ce matin il m'a dit avoir imprimé nos propos pour le montrer à son psy. J'en viens tout de même à me demander ce qu'il imprime vraiment, ce qu'il montre vraiment à son psy. Car je doute tout de même de son impartialité. Moi je veux bien qu'il montre à son psy ce que je lui écrit, à partir du moment où cela reste dans le contexte et qu'il ne tronque aucune partie, y compris ce qu'il dit, lui. Dans ce jeu-là, on n'a pas fini de débattre et ce matin, je lui disais que ce ne serait pas si mal que l'on voit son psy ensemble. J'aime bien quand il n'y a pas qu'un seul son de cloche. Evidemment, vous ne saurez rien de plus ici, c'est trop profond et douloureux à la fois.

Et maintenant, parlons de Max. J'avais commandé par internet toutes les photos du fameux dimanche, plus d'autres de l'année dernière. Je les ai reçues hier. Bé j'ai fait un joli paquet et l'ai déposé ce matin à son bar QG sans un mot de plus. Certes, on avait décidé qu'on ferait des listes pour des tirages ultérieurs, si d'autres personnes en voulaient. Mais moi, vu ses problèmes et comment il se comporte vis-à-vis de mes tout nouveaux sentiments, bé je préfère couper net. Y compris les travaux de peinture de mon petit F1 que je voulais lui faire faire puisque c'est son rayon.

Donc je vais rester dans mon petit home tout cracra et basta.

Et puis je viens d'avoir la visite de ma voisine de troc. Oh combien on se comprend toutes les deux. Car elle aussi elle a des déboires avec un garçon qui aimerait bien qu'elle soit là, mais seulement quand cela l'arrange, lui.

Donc, les mecs, c'est pas qu'on a la haine contre vous, mais arrêtez de nous considérer comme des instruments. Nous n'existons pas que pour votre bon plaisir, ce temps est dépassé, il faudrait tout de même que cela rentre dans votre crâne.

Et n'évoquez surtout pas l'égalité des sexes du style : "c'est vous qui l'avez voulu, maintenant faut assumer". Il n'y a rien de pire. L'égalité des sexes, c'est encore du moyen-âge. Il n'y a qu'à voir les grilles des salaires. Sans parler des conversations de bar ou d'ailleurs. La femme n'a toujours pas la parole. Même si c'est elle qui, en général, tient les cordons de la bourse, élève les enfants, fait en sorte que la maison soit bien tenue, et travaille en plus. Dans la tête de la plupart des hommes, pas grand chose n'a bougé. Sauf si c'est dans leur propre intérêt.

Pour ma part, je trouve que c'est encore et toujours : "sois belle et tais-toi".

Bé non, moi je ne veux ni être belle, ni me taire. Je veux de l'amour, du vrai, du solide. Oui, je reconnais que j'ai envie d'une épaule sur laquelle je puisse compter, me reposer. Et oui, je peux être aussi une épaule sur laquelle on puisse compter et se reposer.

Et comment faire pour que nous fassions épaules communes sans pour cela nous enfermer dans un carcan de conventions ? Pour que chacun respecte l'autre et lui laisse la liberté dont il a besoin ?

Sacré dilemme que seuls les vrais amoureux ont réussi à vaincre..

Ce qui reviendrait à dire que je n'ai pas encore rencontré l'homme de ma vie. Bé purée, à presque 58 balais, je n'y crois plus.

C'est bien pourquoi il me faut oublier. Faire taire tous ses sentiments qui se bousculent. Oublier la race humaine. Et m'oublier par la même occas. Prendre une énorme dose de tranxène 50 avec une bouteille de whisky et tirer ma révérence.

Mais je vous rassure, je ne le ferais pas. Et pourtant,  je peux.





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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 10:44

Samedi soir, je me suis amusée de nouveau avec ma webcam.

J'ai même fait deux vidéos de plus de trente minutes chacune. Bof, il n'y a pas grand chose à en tirer à part peut-être ce petit extrait, pas terrible terrible...







Picture 136

Sinon, vous avez vu ? après le coupe-tifs, je me suis fait une teinture pour masquer mes cheveux blancs.

Je n'ai rien de plus à raconter pour le moment.  J'ai toujours pas le moral. 

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