Je me suis réveillée en m'entendant dire (dans mon rêve) :
"Je suis nul en mat, pat".
Vu que c'est moi qui ai rêvé, je sais bien ce dont il s'agit, mais vous, saurez-vous me dire ???
J'achète une plante énorme. Avec de jolies feuilles qui partent de la base, genre bananier.
Au début elle se porte bien, grandit, les feuilles sont plus grandes que moi quand soudain c'est le drame.
Je la vois dépérir. Certaines feuilles tombent et d'autres se racornissent.
Mais qu'est-ce-qu'il se passe-t-il donc ?
Je la change de place, surveille son degré d'hydrométrie, rien n'y fait.
Je me décide à aller la mettre chez une copine qui a une vraie jungle florale, tchi que dalle, elle dépérit de plus en plus.
N'y tenant plus, en bonne main verte que je suis, je me décide à gratter la terre pour vérifier l'état des racines.
Et là, qu'est-ce que je découvre ?
Une coquille d'oeuf vide, coupée à ses trois quarts, hyper brillante et propre.
Je gratouille encore un peu autour de la coquille et découvre trois tout petits chatons...
Je ne pouvais pas finir cet article sans vous remettre une photo de feu Pelucrou.
J'étais avec ma mère et un ami à elle, et elle me serrait fort le bras.
On devait de rendre à un arrêt de bus relativement loin, il nous fallait traverser des bois sans lumières, et descendre une route qui tournait.
Elle n'arrêtait pas de me parler et j'avais mal dans tout le corps tellement elle me serrait le bras.
Arrivés sur la grand-route où passaient les bus, elle m'a lâchée et a courue avec son ami pour attraper le bus et ils l'ont eu. Moi je traînais derrière, je ne pouvais pas suivre. Tant pis, je prendrais le suivant, j'avais les clés de sa maison, donc rv à la maison que je me suis dit dans ma tête.
Je cherche l'arrêt de bus mais il y avait une déviation, l'arrêt était déporté. Je suis les flèches. Je descends une petite route très pentue. Quand soudain je rencontre deux vieux potes à moi. Un bonheur je ne vous dis que ça.
"On a une voiture plus bas, on va te ramener..."
"OK".
J'aperçois un arbre qui était un fraisier, oui, oui, un arbre grand comme un cerisier mais avec des fraises dessus.
Les deux copains, qui étaient devant, commençent à le secouer pour faire tomber les fraises. L'un d'eux en prend une et me la lance. Mais pas en direct. La fraise a d'abord rebondi sur le sol, puis sur un mur, pour atterrir au creux de mon aisselle. Elle était très très bonne !
Nous arrivons à la voiture, une vieille bagnole sans amortisseurs et nous dévalons des petites ruelles. Entre temps, ils me disent qu'ils doivent récupérer un troisième pote. Après quelques virages très abrupts, nous arrivons à fond les manettes au fond d'une impasse qui donne sur un muret en pierres relativement bas, un mètre de hauteur pas plus qui donne sur une vue imprenable. Le copitole dit : "Freinnnnnnnnnnnnnnnne !!!!!" Crissement de pneux et nous stoppons secs.
Nous sommes au pied d'une villa entourée d'une grande piscine et le pote en question est toujours dans l'eau avec d'autres jeunes.
"Attendez, il faut que je range le plongeoir".
C'est là où c'est marrant les rêves. Car je suis à l'arrière de cette vieille gimbarde, et côté gauche en plus, et pourtant, en me penchant un peu, je vois comment est organisée la piscine et toute la villa autour et le magnifique panorama dans le soleil couchant.
Et je me suis réveillée. Avec des tensions partout dans les muscles...
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