9 juillet 2008
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17:13
Lundi matin, je pars vers 7h. Et j'ai l'intention de faire une grande promenade. Aller jusqu'au bout du bout du chemin sauvage. Enfin ce chemin l'était encore quelques jours plus tôt et quelques jours plus tôt (plus un) il ne l'était plus.
Tout fauché à ras. Comme ce jour-là je n'avais pas eu le temps d'aller bien loin, je m'étais promis d'entreprendre ce périple plus tard.
Mes chaussures qui marchent vite aux pieds, mon apn en poche, me voilà partie.
Un petit tour vers ma plantule en premier. Je mets mon apn en mode caméra, on ne sait jamais si la grenouille est là... je filme, m'approche doucement, me baisse.... bernique, pas de grenouille. Un prince a dû passer par là. Ma plantule a poussé de la tige mais pas de nouvelles feuilles. Et comme c'est très compliqué de filmer, de s'agenouiller et de se relever, la vidéo... hop, poubelle.
Et je commence donc à emprunter mon chemin sauvage.
Pour mémoire, voici comment il était avant
Et voilà comment il est maintenant
Désolé pour la lumière, ce qui prouve qu'il est très tôt.
Vous aurez compris que la tente n'est pas la mienne, elle est située sur l'autre rive... quelle farceuse cette lulu, au cas où vous ne le saviez pas encore.
Chemin faisant, je m'accorde à me dire que même si c'est bon de débrousailler, les onagres, les libellules, et toute autre forme de vie me manquent. Maintenant soyons clairs, derrière la fameuse tente se situe la future mairie en construction. Et qu'est-ce qui s'est passé le jour où ce chemin a été rasé ? La pose de la première pierre (en fait une grosse poutre) inaugurée en grande pompe par Mme la Maire et toutes les huiles ayant collaboré au projet... hazard, coincidence ?
J'avance, j'avance, j'avoue que c'est quand même agréable de marcher en regardant au loin, mais pas aussi agréable que de découvrir la vie qui se réveille.
J'avance toujours. Les joggeurs joggent sur le chemin du haut, vous les voyez ? (naaaaan, je ne me suis pas faite draguer par un joggueur !). Je ne vais pas tarder à passer sous le pont de l'autoroute, et c'est toujours ras.
Devinette : Dans quelle direction se dirige donc ce poids lourd ? On va voir si vous êtes perspicaces.
Juste après ce pont existe une passerelle pour rejoindre l'autre rive, ce sera le but de ma prochaine promenade, sûrement demain matin. (ouh, je vais sûrement passer tout près de la tente !)
Z'avez remarqué comme la lumière a changé ? C'est que je marche mainteant depuis un bon bout de temps et vous voyez comme moi que les chaumes s'arrêtent net. Et bien je peux vous dire qu'après avoir étudié mon plan urbain avec minutie en rentrant chez moi, pas de doute possible : Là où commence la verdure non rasée, là finit Montpellier ! Nous rentrons sur la commune de Lattes. J'vais aller planter un ptit panneau, tiens !
Je commence à emprunter ce fameux chemin, et c'est là que je le vois, LUI, mon dragueur, sur le chemin du haut (qui est une piste cyclable). Naaaaaaaaaan, vous ne le verrez pas en photo, faut pas déconner...
La suite dans le prochain article, sinon OB va me faire disparaître mes photos........
Tout fauché à ras. Comme ce jour-là je n'avais pas eu le temps d'aller bien loin, je m'étais promis d'entreprendre ce périple plus tard.
Mes chaussures qui marchent vite aux pieds, mon apn en poche, me voilà partie.
Un petit tour vers ma plantule en premier. Je mets mon apn en mode caméra, on ne sait jamais si la grenouille est là... je filme, m'approche doucement, me baisse.... bernique, pas de grenouille. Un prince a dû passer par là. Ma plantule a poussé de la tige mais pas de nouvelles feuilles. Et comme c'est très compliqué de filmer, de s'agenouiller et de se relever, la vidéo... hop, poubelle.
Et je commence donc à emprunter mon chemin sauvage.
Pour mémoire, voici comment il était avant
Et voilà comment il est maintenant
Désolé pour la lumière, ce qui prouve qu'il est très tôt.
Vous aurez compris que la tente n'est pas la mienne, elle est située sur l'autre rive... quelle farceuse cette lulu, au cas où vous ne le saviez pas encore.
Chemin faisant, je m'accorde à me dire que même si c'est bon de débrousailler, les onagres, les libellules, et toute autre forme de vie me manquent. Maintenant soyons clairs, derrière la fameuse tente se situe la future mairie en construction. Et qu'est-ce qui s'est passé le jour où ce chemin a été rasé ? La pose de la première pierre (en fait une grosse poutre) inaugurée en grande pompe par Mme la Maire et toutes les huiles ayant collaboré au projet... hazard, coincidence ?
J'avance, j'avance, j'avoue que c'est quand même agréable de marcher en regardant au loin, mais pas aussi agréable que de découvrir la vie qui se réveille.
J'avance toujours. Les joggeurs joggent sur le chemin du haut, vous les voyez ? (naaaaan, je ne me suis pas faite draguer par un joggueur !). Je ne vais pas tarder à passer sous le pont de l'autoroute, et c'est toujours ras.
Devinette : Dans quelle direction se dirige donc ce poids lourd ? On va voir si vous êtes perspicaces.
Juste après ce pont existe une passerelle pour rejoindre l'autre rive, ce sera le but de ma prochaine promenade, sûrement demain matin. (ouh, je vais sûrement passer tout près de la tente !)
Z'avez remarqué comme la lumière a changé ? C'est que je marche mainteant depuis un bon bout de temps et vous voyez comme moi que les chaumes s'arrêtent net. Et bien je peux vous dire qu'après avoir étudié mon plan urbain avec minutie en rentrant chez moi, pas de doute possible : Là où commence la verdure non rasée, là finit Montpellier ! Nous rentrons sur la commune de Lattes. J'vais aller planter un ptit panneau, tiens !
Je commence à emprunter ce fameux chemin, et c'est là que je le vois, LUI, mon dragueur, sur le chemin du haut (qui est une piste cyclable). Naaaaaaaaaan, vous ne le verrez pas en photo, faut pas déconner...
La suite dans le prochain article, sinon OB va me faire disparaître mes photos........
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Alors ce petit meuble, qui est un coffre en fait, et bien cela faisait un bon bout que temps que je l'attendais afin de ranger ma literie d'hiver.
Et pis aujourd'hui, me voilà partie mais en voiture, dans une jardinerie. Ca fait un bon moment que j'avais envie d'un rosier. Un vrai. Et il est là, sur mon balcon. Sans roses. Elles viendront plus tard. Et le must du must, avant de l'acheter, ce matin en trainouillant toujours dans mon quartier, je rentre dans une cour intérieure et je fais le tour. Et je vois des trucs qui m'ont l'air abandonnés depuis au moins Mathusalem. Il suffit de s'approcher pour voir que c'est plein de poussière et que cela n'appartient à personne. Je repère ce qui m'intéresse. Et ce soir je suis allée le chercher. Et bien c'est pile poil ce qu'il me fallait pour aller sous le rosier ! En plus le plateau qui sert de soucoupe est réglable. On peut le faire tourner autour du trépied d'un quart de tour environ. Et comme mon rosier n'a pas encore vraiment pris sa place, c'est un must. Vous ne voyez rien ? Ce n'est pas grave, d'autres clichés viendront plus tard.
Tout ça bien sûr sous les yeux affûtés du conducteur de travaux qui mène tout le monde au fouet.
Tout ceci pour vous dire que je suis 0QP. Et que c'est tant mieux car l'inaction, c'est mauvais pour ma santé.
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