8 janvier 2008
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19:50
J'ai un grooooooos défaut, je suis fainéante !
Je remets toujours au lendemain ce que j'aurais dû faire il y a quinze jours. Mais là, non di diou, alerte générale, plus le moindre oignon ni la moindre carotte dans mon superbô frigo combi qui montrait que le blanc de ses parois, grrr. Et plus de carte tram que je devais refaire avant les fêtes, regrrrr.
Hier soir, je m'étais dit : "Allez, zou, tu fais tout ça demain matin". Matin j'ai bien dit. Sauf que le matin, j'ai la facheuse manie d'allumer l'ordi et de boire mon café devant, lisant mes coms, virevoltant de blog en blog et oups... déjà onze heures !!! Et bien sûr en nuisette, kimono joli et mes fameuses zouing zouing aux pieds (légèrement avachies mais je garde le nom, il me plaît trôtrô).
Un dégueulasse couscous en boite plus tard, (vous savez, le truc de secours !), je cherche ces maudits papiers pour la carte tram. Il me faut présenter le justif de mes indemnités journalières de la sécu (je rappelle que je suis en longue maladie maintenant) du mois de novembre et je constate que "ça" ne suit pas ! Ya comme un trou (pas celui de la sécu !) dans le suivi. Je tries tout ce que je peux. En même temps je remplis un formulaire pour obtenir la carte "Champion" qui donne des points et qu'au bout de 10.000 points, on obtient une boîte de chewing-gum ! J'exagère, je sais, c'est de la fidélisation de clientèle. Je n'y suis pas retournée depuis la fameuse histoire des travaux, où les tremblements avait fait sauter le système informatique du paiment par carte bancaire, ce qui avait foutu un sacré bordel aux caisses, car les micros pour prévenir les clients ne fonctionnaient plus non plus.
Tchouuuuuuu tchouuuuuu, me voilà partie (et sans payer, na). J'arrive à l'agence tram... un monde de ouf ! Je prends un ticket : 217. La personne qui passe a le numéro 185.
32 personnes devant moi et que deux guichets ouverts sur sept ! Seraient-ce aussi des fainéants comme moi ? Au bout de vingt minutes, une femme s'asseoit à côté de moi et me demande : "Ca avance vite ?" Bah ça dépend des cas, hein !!! Parce que y en a qui arrivent avec leur malette de papiers pas triés et qui déballent tout au moment de passer, tout ça pour justifier qu'ils n'ont pas le fameux formulaire ou autre demandé. Bon,, dans cette salle-là, on est assis, c'est toujours ça de pris. Et là je me surprends à constater qu'il n'y a que des femmes ! Enfin un homme sur trente femmes environ... mystère. Ou les hommes trichent, ou ils ont une voiture... à méditer.
Au bout de quarante cinq minutes arrive mon tour. CHOUETTE. Etant donné que j'ai aussi pris mes relevés de décembre, ça ne fait rien si j'ai un trou en novembre ! J'obtiens le fameux sésame pour recharger ma carte. Oui mais là, il faut aller dans la salle d'à côté, et debout cette fois-çi (avec mon joli caddie violet, j'ai une touche pas poss) pour recharger la carte avec le sésame et procéder au paiement.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, ça c'est la France !!
Allez zou, direction "Champion" Là, rien de spécial si ce n'est que rien n'est vraiment prévu pour les gens sans voiture. J'avais foutu mon caddie la tête à l'envers dans leur caddie à eux et pour transvaser les emplettes de l'un à l'autre, faut trouver le bon endroit ! Et le bon endroit, évidemment, c'est là où l'on rengaine le caddie, chling, dans les autres. Mais je gêne ! Je me pousse et me mets à la place de parking vide juste à côté. Je gêne encore !
Vous comprenez, et je suis sûre que cela arrive à certains d'entre vous, pourquoi je remets à demain ce que j'aurais dû faire l'année dernière.
Retour à la maison, chargée comme un baudet, caddie plein plus sac plein. Ouf. Je me pose. Puis je déballe un peu de mes courses et laisse le reste en plan dans l'entrée.
Merci à Jordian de m'avoir rendu visite dimanche, grâce à lui, j'ai pu illustrer cet article. Comment je me la pête (les plombs) !!!
Je remets toujours au lendemain ce que j'aurais dû faire il y a quinze jours. Mais là, non di diou, alerte générale, plus le moindre oignon ni la moindre carotte dans mon superbô frigo combi qui montrait que le blanc de ses parois, grrr. Et plus de carte tram que je devais refaire avant les fêtes, regrrrr.
Hier soir, je m'étais dit : "Allez, zou, tu fais tout ça demain matin". Matin j'ai bien dit. Sauf que le matin, j'ai la facheuse manie d'allumer l'ordi et de boire mon café devant, lisant mes coms, virevoltant de blog en blog et oups... déjà onze heures !!! Et bien sûr en nuisette, kimono joli et mes fameuses zouing zouing aux pieds (légèrement avachies mais je garde le nom, il me plaît trôtrô).
Un dégueulasse couscous en boite plus tard, (vous savez, le truc de secours !), je cherche ces maudits papiers pour la carte tram. Il me faut présenter le justif de mes indemnités journalières de la sécu (je rappelle que je suis en longue maladie maintenant) du mois de novembre et je constate que "ça" ne suit pas ! Ya comme un trou (pas celui de la sécu !) dans le suivi. Je tries tout ce que je peux. En même temps je remplis un formulaire pour obtenir la carte "Champion" qui donne des points et qu'au bout de 10.000 points, on obtient une boîte de chewing-gum ! J'exagère, je sais, c'est de la fidélisation de clientèle. Je n'y suis pas retournée depuis la fameuse histoire des travaux, où les tremblements avait fait sauter le système informatique du paiment par carte bancaire, ce qui avait foutu un sacré bordel aux caisses, car les micros pour prévenir les clients ne fonctionnaient plus non plus.
Tchouuuuuuu tchouuuuuu, me voilà partie (et sans payer, na). J'arrive à l'agence tram... un monde de ouf ! Je prends un ticket : 217. La personne qui passe a le numéro 185.
32 personnes devant moi et que deux guichets ouverts sur sept ! Seraient-ce aussi des fainéants comme moi ? Au bout de vingt minutes, une femme s'asseoit à côté de moi et me demande : "Ca avance vite ?" Bah ça dépend des cas, hein !!! Parce que y en a qui arrivent avec leur malette de papiers pas triés et qui déballent tout au moment de passer, tout ça pour justifier qu'ils n'ont pas le fameux formulaire ou autre demandé. Bon,, dans cette salle-là, on est assis, c'est toujours ça de pris. Et là je me surprends à constater qu'il n'y a que des femmes ! Enfin un homme sur trente femmes environ... mystère. Ou les hommes trichent, ou ils ont une voiture... à méditer.
Au bout de quarante cinq minutes arrive mon tour. CHOUETTE. Etant donné que j'ai aussi pris mes relevés de décembre, ça ne fait rien si j'ai un trou en novembre ! J'obtiens le fameux sésame pour recharger ma carte. Oui mais là, il faut aller dans la salle d'à côté, et debout cette fois-çi (avec mon joli caddie violet, j'ai une touche pas poss) pour recharger la carte avec le sésame et procéder au paiement.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, ça c'est la France !!
Allez zou, direction "Champion" Là, rien de spécial si ce n'est que rien n'est vraiment prévu pour les gens sans voiture. J'avais foutu mon caddie la tête à l'envers dans leur caddie à eux et pour transvaser les emplettes de l'un à l'autre, faut trouver le bon endroit ! Et le bon endroit, évidemment, c'est là où l'on rengaine le caddie, chling, dans les autres. Mais je gêne ! Je me pousse et me mets à la place de parking vide juste à côté. Je gêne encore !
Vous comprenez, et je suis sûre que cela arrive à certains d'entre vous, pourquoi je remets à demain ce que j'aurais dû faire l'année dernière.
Retour à la maison, chargée comme un baudet, caddie plein plus sac plein. Ouf. Je me pose. Puis je déballe un peu de mes courses et laisse le reste en plan dans l'entrée.
Mais le pourquoi du comment du titre de cet article arrive maintenant !
Vers 19h30, un coup de sonnette péremptoire, pluss des toc-toc répétés et chlac, un gros bruit et tout s'éteint ! Plus de lumières plafonnières ! Me voilà juste avec mon ordi d'allumé et dans le noir je vais ouvrir.
Ce sont les pompiers avec leurs calendriers ! Bonjour les pompiers (trois beaux mecs en plus !), votre coup de sonnette à fait pêter le fusible de mes lumières ! Aaaaaaaah, yen a un qui se dévoue. "vous avez ptêt une rallonge, une lampe torche " Oui, je dois avoir des trucs comme ça, mais je n'y vois rien pour chercher, moi ! si, je trouve une lampe électrique qui se met aux abonnés absents... "bah, vous n'avez qu'à aller chez votre voisin, voir s'il a quelque chose pour vous aider, on va repasser..." Et oui, ils ont six étages à toctoquer, faut les comprendre, les gars.
Mon seul voisin présent est un couple aimable comme une porte de prison et évidemment, ils n'ont rien, et se fichent de mon problème comme de leur première petite culotte.
Je me décide à prendre l'ascenceur pour aller trouver quelqu'un d'autre et schling, je retombe sur les pompiers qui revenaient chez moi. "alors, vous avez trouvé une solution ?" Bah, non.
Ils sont pompiers, hein ??? Le dévoué me dit : "zavez un briquet, une bougie, un truc..." Oui, j'ai un briquet. Je le cherche et là, je m'aperçois que ma lampe électrique est allumée à côté de mon ordi ! Fou rire.... On change le fusible ensemble (heureusement que j'en ai toujours, sinon, j'étais dans la merde) et un autre me dit : "Faut faire venir un électricien, sinon, quand on va sonner, ça va repéter". Tu rigoles, toi !!! Après avoir vérifié que j'avais encore un fusible, je sonne et ça ne pète pas ! Na ! mais c'est bizarre quand même.
Et me voilà avec un beau calendar dont je n'ai rien à foutre et délestée d'un beau billet tout neuf !
Ce sont les pompiers avec leurs calendriers ! Bonjour les pompiers (trois beaux mecs en plus !), votre coup de sonnette à fait pêter le fusible de mes lumières ! Aaaaaaaah, yen a un qui se dévoue. "vous avez ptêt une rallonge, une lampe torche " Oui, je dois avoir des trucs comme ça, mais je n'y vois rien pour chercher, moi ! si, je trouve une lampe électrique qui se met aux abonnés absents... "bah, vous n'avez qu'à aller chez votre voisin, voir s'il a quelque chose pour vous aider, on va repasser..." Et oui, ils ont six étages à toctoquer, faut les comprendre, les gars.
Mon seul voisin présent est un couple aimable comme une porte de prison et évidemment, ils n'ont rien, et se fichent de mon problème comme de leur première petite culotte.
Je me décide à prendre l'ascenceur pour aller trouver quelqu'un d'autre et schling, je retombe sur les pompiers qui revenaient chez moi. "alors, vous avez trouvé une solution ?" Bah, non.
Ils sont pompiers, hein ??? Le dévoué me dit : "zavez un briquet, une bougie, un truc..." Oui, j'ai un briquet. Je le cherche et là, je m'aperçois que ma lampe électrique est allumée à côté de mon ordi ! Fou rire.... On change le fusible ensemble (heureusement que j'en ai toujours, sinon, j'étais dans la merde) et un autre me dit : "Faut faire venir un électricien, sinon, quand on va sonner, ça va repéter". Tu rigoles, toi !!! Après avoir vérifié que j'avais encore un fusible, je sonne et ça ne pète pas ! Na ! mais c'est bizarre quand même.
Et me voilà avec un beau calendar dont je n'ai rien à foutre et délestée d'un beau billet tout neuf !
VIVE LES POMPIERS !
Merci à Jordian de m'avoir rendu visite dimanche, grâce à lui, j'ai pu illustrer cet article. Comment je me la pête (les plombs) !!!