29 mars 2009
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16:33
C'était vendredi et il m'a fallu prendre ce transport en commun à 17H30.
Bondé qu'il était l'animal. Et dans ces cas-là, je suis claustro-agora tout ce que vous voulez, mais je me sens extrêmement mal. Un gentil jeune homme m'a proposé de m'asseoir sur un strapontin ce qui n'a pas été de refus car je commençais à tourner de l'oeil avec des sueurs froides. Je me suis bien calée dans ce siège de fortune et je n'ai plus bougé, les yeux fermés, jusqu'à temps que l'on arrive à une certaine station, Place de la Comédie pour ceux qui connaissent, et là ce fut le rush. Ouuuuuuuuuf !!!!
Ainsi, j'ai pu trouver une autre place assise, bien plus confortable et reprendre un peu mes esprits.
Et voici ce que j'ai vu :
Mais comment on fait pour marcher avec des trucs pareils, dans le tram, a une heure de pointe ? La base est toute en bois et les talons hyper hauts. La pauvre n'arrêtait pas de gesticulier, normal, elle se trouvait sur la plate-forme de jonction entre deux wagons.
C'est sûr, cela doit être une question d'habitude, moi-même jeune j'ai porté des sabots compensés, d'ailleurs je me suis tordu les chevilles plein de fois dans le métro parisien.
Juste pour les puristes, la tâche bleue sur son pied gauche, ça c'est sûr elle a une autre paire de chaussures qui déteignent.
L'histoire drôle, c'est que lorsque je suis arrivée à ma station, une femme sort avec son petit garçon. La femme parle dans son téléphone portable. Elle a le teint mat et les cheveux frisés. Le petit garçon est tout roux comme moi. Et délicieusement, il met sa main dans la mienne et nous marchons une trentaine de mètres ainsi, juste derrière la maman. "Ah ba ça alors !!!", dit-elle en se retournant. "Normal" lui dis-je, "nous avons la même couleur de cheveux". "Et bien, nous ne voudriez pas devenir sa nounou, car il est insupportable" me rétorque-t-elle.
La maman et l'enfant de nouveau réunis, j'ai bien vu qu'il avait un sacré caractère.
Moi nounou ? D'un môme de trois ans ? Même pas en rêve !!!
Mais j'ai adoré ce petit moment de tendresse, cette petite main douce dans la mienne.
Bondé qu'il était l'animal. Et dans ces cas-là, je suis claustro-agora tout ce que vous voulez, mais je me sens extrêmement mal. Un gentil jeune homme m'a proposé de m'asseoir sur un strapontin ce qui n'a pas été de refus car je commençais à tourner de l'oeil avec des sueurs froides. Je me suis bien calée dans ce siège de fortune et je n'ai plus bougé, les yeux fermés, jusqu'à temps que l'on arrive à une certaine station, Place de la Comédie pour ceux qui connaissent, et là ce fut le rush. Ouuuuuuuuuf !!!!
Ainsi, j'ai pu trouver une autre place assise, bien plus confortable et reprendre un peu mes esprits.
Et voici ce que j'ai vu :
Mais comment on fait pour marcher avec des trucs pareils, dans le tram, a une heure de pointe ? La base est toute en bois et les talons hyper hauts. La pauvre n'arrêtait pas de gesticulier, normal, elle se trouvait sur la plate-forme de jonction entre deux wagons.
C'est sûr, cela doit être une question d'habitude, moi-même jeune j'ai porté des sabots compensés, d'ailleurs je me suis tordu les chevilles plein de fois dans le métro parisien.
Juste pour les puristes, la tâche bleue sur son pied gauche, ça c'est sûr elle a une autre paire de chaussures qui déteignent.
L'histoire drôle, c'est que lorsque je suis arrivée à ma station, une femme sort avec son petit garçon. La femme parle dans son téléphone portable. Elle a le teint mat et les cheveux frisés. Le petit garçon est tout roux comme moi. Et délicieusement, il met sa main dans la mienne et nous marchons une trentaine de mètres ainsi, juste derrière la maman. "Ah ba ça alors !!!", dit-elle en se retournant. "Normal" lui dis-je, "nous avons la même couleur de cheveux". "Et bien, nous ne voudriez pas devenir sa nounou, car il est insupportable" me rétorque-t-elle.
La maman et l'enfant de nouveau réunis, j'ai bien vu qu'il avait un sacré caractère.
Moi nounou ? D'un môme de trois ans ? Même pas en rêve !!!
Mais j'ai adoré ce petit moment de tendresse, cette petite main douce dans la mienne.