27 mars 2010
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Depuis qu'il a la permission de sortir, il me fait une vie, je ne vous raconte pas !
Par tous les moyens, il tente de revenir chez moi. Il se faufile dans l'entrée et si par hasard l'ascenseur est ouvert, il monte dedans.
Enfin l'autre jour c'était avec moi. Je l'ai donc laissé faire pour lui montrer que définitivement chez moi, il n'y avait plus rien pour lui. Pas de plats à bouffe, pas de litière, rien de rien. Cinq minutes je l'ai laissé à se frotter sur les coins qu'il affectionnait et puis d'une voix douce mais ferme, je lui ai expliqué que c'était terminé.
De chez moi, je l'entends miauler, il m'appelle. Je fais la sourde oreille.
Et dès que je sors, il n'est jamais loin et me poursuit de ses assiduités. Je tente d'avoir un comportement correct, amical et le laisse me suivre dans mes petites affaires du quartier.
Et puis je m'arrête un instant avec lui pour que nous puissions échanger nos sentiments d'amour.
Tout en ayant dans l'esprit que c'est définitivement non, plus de partage à la maison.
Il faut toujours que je me barre rapidos, sans me retourner...
Dans sa tête de chat, je sais bien qu'un jour il comprendra que ma maison lui est interdite. Mais je sais aussi qu'il ne comprendra jamais pourquoi.
Ça ne fait rien. Nous continuerons à nous voir dehors et nous nous promènerons ensemble...
Par tous les moyens, il tente de revenir chez moi. Il se faufile dans l'entrée et si par hasard l'ascenseur est ouvert, il monte dedans.
Enfin l'autre jour c'était avec moi. Je l'ai donc laissé faire pour lui montrer que définitivement chez moi, il n'y avait plus rien pour lui. Pas de plats à bouffe, pas de litière, rien de rien. Cinq minutes je l'ai laissé à se frotter sur les coins qu'il affectionnait et puis d'une voix douce mais ferme, je lui ai expliqué que c'était terminé.
De chez moi, je l'entends miauler, il m'appelle. Je fais la sourde oreille.
Et dès que je sors, il n'est jamais loin et me poursuit de ses assiduités. Je tente d'avoir un comportement correct, amical et le laisse me suivre dans mes petites affaires du quartier.
Et puis je m'arrête un instant avec lui pour que nous puissions échanger nos sentiments d'amour.
Tout en ayant dans l'esprit que c'est définitivement non, plus de partage à la maison.
Il faut toujours que je me barre rapidos, sans me retourner...
Dans sa tête de chat, je sais bien qu'un jour il comprendra que ma maison lui est interdite. Mais je sais aussi qu'il ne comprendra jamais pourquoi.
Ça ne fait rien. Nous continuerons à nous voir dehors et nous nous promènerons ensemble...