14 janvier 2009
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En rentrant des courses ce matin, j'avise une lettre de la Poste affichée sur la porte du local qui est uniquement réservé à ceux qui ont une clé. C'est-à-dire tous distributeurs qui peuvent avoir accès à nos boîtes.
En substance, cette lettre dit que le courrier n'a pas pu être distribué faute de lumière plafonnière et qu'il nous faut contacter notre syndic et que notre courrier sera disponible à partir du 19 à.... la Poste principale de Montpellier. Qui n'est pas la porte à côté.
Alors d'une, je trouve cela étrange, car en plein jour, avec la porte ouverte, ces personnes peuvent très bien y voir, certes moins que s'il y avait une ampoule mais quand même.
Mais (et de deux), le pire, c'est que notre petite société HLM, bien sympa, où les bureaux se situaient dans le bâtiment juste à côté, a été rachetée par le grand groupe ACM (ou OPAC) et ce depuis le 1er janvier de cette année.
Quand nous avions un petit ennui de ce genre, il nous était facile d'aller au bureau et le problème était réglé dans la journée.
Maintenant, je sais que cela va être la croix et la bannière pour faire intervenir quelqu'un et pour n'importe quel problème.
J'ai envoyé un mail. Mail bien reçu, vous savez le genre de réponse automatique.
En plus, lorsque je prends l'ascenseur, je voulais faire vite vite, car les postiers venaient de passer et je voulais leur courir au cul, seulement il me fallait monter mon caddie. Et paf, ma voisine de pallier le prend en même temps que moi (la chiante, celle qui se croit persécutée par les voisins du dessous...). Je lui explique vite fait le truc, mais elle ne se rend pas compte qu'elle bloque la fermeture de la porte avec son gros sac sur l'épaule. En plus, comme c'est une pipelette comme pas poss, toujours prête à bondir sur le moindre incident, elle voulait absolument parler. Moi pas ! Elle m'a fait perdre de précieuses secondes cette gourde et quand je suis redescendue, plus de postier à l'horizon...
En substance, cette lettre dit que le courrier n'a pas pu être distribué faute de lumière plafonnière et qu'il nous faut contacter notre syndic et que notre courrier sera disponible à partir du 19 à.... la Poste principale de Montpellier. Qui n'est pas la porte à côté.
Alors d'une, je trouve cela étrange, car en plein jour, avec la porte ouverte, ces personnes peuvent très bien y voir, certes moins que s'il y avait une ampoule mais quand même.
Mais (et de deux), le pire, c'est que notre petite société HLM, bien sympa, où les bureaux se situaient dans le bâtiment juste à côté, a été rachetée par le grand groupe ACM (ou OPAC) et ce depuis le 1er janvier de cette année.
Quand nous avions un petit ennui de ce genre, il nous était facile d'aller au bureau et le problème était réglé dans la journée.
Maintenant, je sais que cela va être la croix et la bannière pour faire intervenir quelqu'un et pour n'importe quel problème.
J'ai envoyé un mail. Mail bien reçu, vous savez le genre de réponse automatique.
En plus, lorsque je prends l'ascenseur, je voulais faire vite vite, car les postiers venaient de passer et je voulais leur courir au cul, seulement il me fallait monter mon caddie. Et paf, ma voisine de pallier le prend en même temps que moi (la chiante, celle qui se croit persécutée par les voisins du dessous...). Je lui explique vite fait le truc, mais elle ne se rend pas compte qu'elle bloque la fermeture de la porte avec son gros sac sur l'épaule. En plus, comme c'est une pipelette comme pas poss, toujours prête à bondir sur le moindre incident, elle voulait absolument parler. Moi pas ! Elle m'a fait perdre de précieuses secondes cette gourde et quand je suis redescendue, plus de postier à l'horizon...
Va-t-il falloir que je les guette demain et que je les briefe ?
renaud - le HLM
envoyé par bisonravi1987
J'aime beaucoup cette chanson,
mais je n'aimerais pas que cela devienne ainsi,
avec une telle dépersonnalisation, que bien que l'on soit nombreux côte à côte,
on se sent seul, si seul...
renaud - le HLM
envoyé par bisonravi1987
J'aime beaucoup cette chanson,
mais je n'aimerais pas que cela devienne ainsi,
avec une telle dépersonnalisation, que bien que l'on soit nombreux côte à côte,
on se sent seul, si seul...